Une légende prétend que le vignoble a jadis appartenu aux moines de Saint-Jean de la Sainte-Epine, communauté monastique qui vénérait, comme relique, une épine de la couronne du Christ. Le jeune Mikaël Desestret exploite aujourd’hui, avec son père, les 6 hectares de très vieilles vignes du domaine. Les vins sont élaborés avec beaucoup de sérieux. S’ils évoquent les grands saint-joseph de Raymond Trollat, cela n’a rien de surprenant, une partie de ses vignes étant confiée en métayage à la famille Desestret. (La revue du vin de France)