0,00 € la bouteille
Cru | Gigondas |
Type | N'hésitez pas à nous consulter , pour des vins du même vigneron ou cuvée ou similaire !téléphone 04.75.09.58.54contact@les-bouteilles.com |
Millésime | 2013 |
COULEUR | Rouge |
NOTE PARKER | 92 |
Format | Magnum de 150 cl |
Très minéral dans sa jeunesse, évolution sur des tanins fins en vieillissant.
Attention : dernières pièces disponibles !
Date de disponibilité:
Les vignes sont issues de terrasses entourées de bois et recouvertes d’éboulis de roches calcaires provenant des Dentelles de Montmirail. Des vignes âgées d’en moyenne 45 ans composent l’encépagement de cette cuvée. Après une vendange manuelle avec un double tri sévère, les raisins ont fermenté environ 25 jours en cuves en béton et en bois.Le vin a ensuite été élevé 10 mois en cuves et 12 mois en foudres.
Le domaine du Vieux Télégraphe est exploité par notre famille, la famille Brunier, depuis six générations, exactement depuis 1891. Le vignoble, d’une moyenne d’âge de 60 ans, est situé sur le célèbre plateau de la Crau, haut lieu de la viticulture de Châteauneuf-du-Pape. Ce terroir marque nos vins d’une minéralité toute particulière, comme s’ils avaient été filtrés au travers de l’épaisse couche de galets roulés, laissée sur place à la fonte des glaciers alpins, bien avant la formation de la Vallée du Rhône. Domaine du Vieux Télégraphe (en rouge et en blanc), Télégramme (rouge), Piedlong (rouge), Clos la Roquète (blanc)... nous cultivons et vinifions différentes expressions du terroir de Châteauneuf-du-Pape, mais aussi Les Pallières à Gigondas (rosé et rouge), Le Pigeoulet (rouge et blanc) et Mégaphone (rouge) sur les contreforts du Mont Ventoux.
Le Mont Ventoux veille sur tous nos vignobles. Ici, sur le célèbre plateau de la Crau, à Châteauneuf-du-Pape
Le domaine du Vieux Télégraphe est exploité par notre famille, la famille Brunier, depuis cinq générations, exactement depuis 1891. Le vignoble, d’une moyenne d’âge de 60 ans, est situé sur le célèbre plateau de la Crau, haut lieu de la viticulture de Châteauneuf-du-Pape.
Ce terroir marque nos vins d’une minéralité toute particulière, comme s’ils avaient été filtrés au travers de l’épaisse couche de galets roulés, laissée sur place à la fonte des glaciers alpins, bien avant la formation de la Vallée du Rhône.
Domaine du Vieux Télégraphe (en rouge et en blanc), Télégramme (rouge), Piedlong (rouge), Clos la Roquète (blanc)… nous cultivons et vinifions différentes expressions du terroir de Châteauneuf-du-Pape, mais aussi Les Pallières à Gigondas (rosé et rouge), Le Pigeoulet (rouge et blanc) et Mégaphone (rouge) sur les contreforts du Mont Ventoux. Nous sommes fous du grenache, cépage qui a trouvé dans nos contrées provençales une terre d’élection.
C’est Henri Brunier qui donna naissance à cette belle histoire de famille en 1891, dans le village de Bédarrides, bien connu aujourd’hui pour détenir la partie sud-est de l’appellation Châteauneuf-du-Pape. Cette année-là, il fit la donation à son fils Hippolyte, de parcelles de terre sises sur La Crau, lieu considéré à cette époque comme incultivable, tant la densité de galets roulés rendait le sol ingrat.
Ce dernier planta ses premiers ceps sur ce plateau dominant, où la vocation viticole remonte au XIVe siècle et où en 1821, Claude Chappe, inventeur du télégraphe optique, installa une de ses tours relais. Jules, fils d’Hippolyte, porta le patrimoine à 17 hectares et donna au fruit de son travail le nom bien trouvé de “Vieux Télégraphe”.
Frédéric et Daniel Brunier, la cinquième génération
À la sortie de la Seconde Guerre mondiale, c’est Henri, deuxième du nom et quatrième génération, qui eut la lourde tâche de reconstruire le patrimoine et de veiller à sa destinée. Ne se contentant pas de porter le domaine à 55 hectares d’un seul tenant, il donna à ce grand classique de Châteauneuf-du-Pape toute sa dimension, en créant un “style” Vieux Télégraphe et en le positionnant sur tous les plus beaux marchés du monde.
Depuis le tout début des années 80, ses deux fils, Frédéric et Daniel, ont repris en tandem la destinée de l’entreprise familiale. Ils exploitent aujourd’hui 98 hectares en appellation Châteauneuf-du-Pape et 15 hectares en IGP Vaucluse et AOC Ventoux. À cela, il faut ajouter le domaine Les Pallières, repris en 1998 en partenariat avec leur ami Kermit Lynch, qui représente 135 hectares d’un seul tenant en appellation Gigondas, dont 25 plantés en vigne. 1998 fut aussi l’année de la création de Massaya au Liban, en association avec Sami et Ramzi Ghosn, qui aujourd’hui représente environ la production de 50 hectares de vignes répartis principalement dans le nord-est de la plaine de la Beqaa.
Après plus d’un siècle d’existence, le domaine du Vieux Télégraphe et ses vignobles associés, guidés par la cinquième génération de vignerons, et bientôt la sixième, ont su garder vivante l’intégralité de la philosophie de départ.
Une philosophie de culture dite raisonnée-bio et durable.
Que l’on soit sur le chaud plateau de la Crau, dans les lieux-dits de Pignan, La Roquète, Piedlong ou sur les coteaux escarpés et froids du quartier des Pallières, la même conviction anime l’équipe de vignerons qui œuvre toute l’année durant, pour permettre aux raisins de s’épanouir et d’être cueillis dans les meilleures conditions.
Un beau fruit est indispensable à l’élaboration d’un beau millésime.
Pour ce faire, on n’hésite pas à adapter chaque tâche à chaque parcelle. Par exemple, la taille, les fumures organiques, les labours traditionnels… sont des tâches hivernales banales au premier abord, mais qui nécessitent une grande attention. Au printemps et en été, il en est de même avec l’ébourgeonnage manuel, la vendange en vert et les effeuillages. Tout est une question d’équilibre adapté à pratiquement chacun des ceps.
“La Crau” et son sol dominé par le galet roulé
Les traitements effectués durant la période de végétation sont respectueux des règles appliquées en agriculture biologique et de plus raisonnés, pour atteindre chaque année les 2 buts principaux :
- zéro résidu dans les vins.
- pollution extérieure minimale.
En matière de lutte contre l’Eudémis et la Cochylis, c’est la technique dite de “confusion sexuelle” qui est suivie depuis 1997. Elle consiste simplement à saturer le vignoble de phéromones femelles afin que le mâle papillon éprouve toutes les difficultés à se diriger pour l’accouplement. Résultat : moins de vers de grappe et des raisins plus sains naturellement. Les vendanges, enfin, illustrent parfaitement notre philosophie de respect des traditions. Effectuées manuellement, elles intègrent un double niveau de tri du raisin afin de livrer aux hommes de la vinification un fruit le plus sain possible. Une dernière précision cependant indispensable à la notion de terroir et d’AOC : aucune irrigation n’est pratiquée sur nos vignobles.
Climat, mistral, cépages historiques, sols, ressenti, exposition… la personnalité d’un terroir est un ensemble magique d’éléments naturels et humains qui se suffit à lui-même pour révéler une expression, pour émettre une vibration qu’aucune technique œnologique n’est encore capable de reproduire.
Nos chais de vinification sont tous les trois construits en utilisant le principe de la gravité, pour recevoir la vendange ; principe qui permet un respect optimum des raisins jusqu’à leur arrivée en cuve
De la même façon qu’il existe chez nous une philosophie de culture de la vigne, il existe bien sûr une philosophie de vinification et d’élevage des vins.
L’idée principale est d’observer attentivement le raisin, d’essayer de détecter en lui la ligne conductrice de la vinification et de créer ainsi un millésime qui soit le reflet du climat et des événements survenus dans l’année. Plus tard, on adaptera aussi l’élevage à la structure des vins produits. Personnalité et équilibre sont les deux maîtres mots qui guident nos décisions et nos actes. Dans le cadre bien précis d’une fermentation traditionnelle respectueuse des coutumes de l’appellation d’origine contrôlée, à chaque millésime et à chaque vin, égrappage, remontage, température, pigeage, durée de fermentation et bien d’autres paramètres sont adaptés, ajustés, révisés en permanence afin de coller le plus possible aux exigences de la nature et de nos espérances.
Élaborer des vins de terroir et non des vins de recette, des vins de repas plus que de dégustation, des vins dont la qualité finale n’a de valeur que la noblesse des moyens mis en œuvre pour l’obtenir… là est notre vocation !
WINE ADVOCATE - #215 - 30 OCT 2014 - JEB DUNNUCK
(87-89). Both cuvées on this vintage are impressive, possibly oustanding efforts. The Terrasse du Diable is perfumed and pretty, with medium-bodied richness and depty to go with sweet raspberry, spice and peppery aromas and flavors. The tannins are well-managed. It has good, not great concentration, and a balanced, elegant style that will evolve nicely.
VINEOUS – MAY 2016 – JOSH REYNOLDS
92 : Dark ruby. Candied red berries, cherry compote and potpourri on the highly pungent nose ; mineral element adds vivacity. Energetic black raspberry and bitter cherry flavors show excellent clarity and a hint of licorice pastille that builds as the wine opens up. The energetic finish repeats the floral and mineral notes, while supple tannins lend shape and grip.
RVF - NOV. 2016 - DOSSIER MILLESIME 2013 - R. PETRONIO
15.5-16 / 20. Ce vin provient d'une parcelle d'altitude. Il contient 5% de Clairette. Fraîcheur et finesse le caractérisent. Il prend des notes de menthol, de bégétal noble et de fruit très pur. Gracieux, mais avec un coeur de bouche serré, c'est un modèle de Gigondas raffiné à l'accent septentrional.
Aucun avis n'a été publié pour le moment.